Le jazz du 21ème siècle est arrivé. Il est mélange d'électronique et de tradition. Transgénique, il offre des plages accoustiques et s'envole vers de galactiques sonorités où l'on croise le souvenir d'Herbie Hancock, qui à l'aube des années 70 découvrait la musicalité des machines. Là où tant d'autres ont échoué, Christoph Stiefel (piano et live electronics) célèbre cette noce du digital et de l'accoustique avec bonheur et intelligence, en compagnie de Björn Meyer (basse) et Marius Peyer (batterie).